CHUTE DE CHEVEUX
Pendant la grossesse, les hormones sont à leur apogée. Ce bouleversement se traduit notamment par des changements cutanés et capillaires : peau sensible, acné rosacée, cheveux qui deviennent plus forts, plus épais et qui finissent par tomber après l’accouchement. C’est parfois inquiétant (on vous comprend) mais pas de panique, cette perte de cheveux est tout à fait normale et surtout temporaire !
Lorsqu’une femme est enceinte, son taux d’hormones (les œstrogènes en particulier) augmente fortement, ce qui chamboule le cycle pilaire habituel. La croissance des cheveux peut être boostée, ils sont plus forts et leur chute est retardée. C’est pourquoi on dit qu’ils sont souvent plus soyeux et épais durant cette période.
Quelques semaines après l’accouchement, le corps se met à réguler ses taux d’hormones et c’est donc naturellement que ces cheveux passent presque tous en phase de chute. Si cette perte de cheveux après la grossesse peut impressionner à première vue, elle n’en est pas moins naturelle et réversible !
Le mot de l’expert
La perte de cheveux après la grossesse arrive généralement 2 à 3 mois après l’accouchement. Opter pour une cure antichute le plus tôt possible est le meilleur moyen de prévenir la chute et de redynamiser les cheveux.
La nature est bien faite : dans les semaines qui suivent l’accouchement, le cycle pilaire, mis en pause pendant la grossesse, reprend son rythme habituel et se régule tout seul. Les cheveux recommencent donc à tomber, parfois de manière assez importante, mais ce n’est que temporaire. Il faut généralement attendre 3 à 6 mois pour remarquer la pousse de nouveaux cheveux. Toutefois, si d’autres facteurs comme le stress, la fatigue ou encore des carences alimentaires entrent en jeu, il est possible que la perte de cheveux continue... Ainsi, si vous n’observez pas de repousse un an après avoir accouché, nous vous invitons à consulter un professionnel de santé afin de réaliser un bilan complet et de mettre en place un traitement adapté.
Conseils pratiques pour éviter la perte de cheveux post partum
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Elles l’ont adopté
Simple, rapide et efficace : c’est tout ce que j’attendais de cette routine pour éviter la perte de cheveux tant redoutée après ma grossesse. Et mention spéciale au sérum sans rinçage et son odeur que j’adore !
Découvrez notre sélection de conseils et de gestes à adopter pour booster la phase de croissance, essentielle dans le cycle de vie du cheveu.
La chute de cheveux post partum peut parfois être impressionnante. Non seulement, on les retrouve partout, sur la brosse, le sol, dans la douche, mais on perd également en volume, le cheveu semble plus fin... Rassurez-vous, tout cela n’est que le signe d’un retour à la normale dans votre corps : les hormones sont régulées et tous les cheveux qui étaient en phase transitoire passent d’un seul coup en phase de chute. Il n’y a donc pas de raison de s’inquiéter, il faut simplement laisser à son corps le temps de rééquilibrer les cycles pilaires. Néanmoins, rien ne vous empêche de lui donner un coup de pouce en adoptant les bons gestes, une routine adaptée et en n’oubliant pas de vous reposer !
Une fois bébé arrivé, il faut généralement attendre deux à trois mois pour que l’organisme régule les hormones et que cela déclenche la perte de cheveux.
Même si cela varie selon les femmes, la perte de cheveux dure en moyenne autour de trois mois. Au-delà de six mois, il faut commencer à s’inquiéter. Un an après l’accouchement, vous devez avoir retrouvé des cheveux forts et en pleine santé. Si ce n’est pas le cas, nous vous invitons à réaliser un bilan auprès d’un professionnel de santé.
Oui, elle peut l’être. Durant la période d’allaitement, le corps continue à produire les œstrogènes en grande quantité, au même rythme que pendant la grossesse. Les femmes qui allaitent pourront donc profiter de leur chevelure forte et soyeuse durant quelques mois. Toutefois, ce n’est pas le cas de toutes les jeunes mamans. Certaines observent une perte de cheveux soudaine et impressionnante dès les premiers mois qui suivent l’accouchement et ce, malgré l’allaitement. Dans ce cas, pas de panique, il faut prendre son mal en patience et mettre en place les bons gestes !
Elle arrive en effet chez la plupart des femmes. C’est une perte physiologique qui survient en réaction à un bouleversement hormonal, il y a donc peu de chances d’y échapper. Mais le point positif, c’est qu’elle ne dure pas !
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